Retour à San Francisco

Publié le par Ding

Retour à San Francisco

Abstract : We re-discovered San Francisco after 28 years. It remains an extraordinary city, very different than other US towns. The hills, the streetcars, the houses with so many different styles, its vast Chinatown. San Francisco is unique.

Nous n’étions pas venus à San Francisco depuis 1996. A notre soulagement, la ville n’a pas trop changé en vingt-huit ans. Elle reste unique en son genre, très différente des autres villes américaines. Comment l’expliquer à ceux de nos lecteurs qui ne la connaissent pas ?

Nous sommes arrivés par le Golden Gate Bridge, symbole de la ville. Nous ne l'avons bien vu que le jour du départ (photo 4) car il était jusque là noyé dans la brume.Nous sommes arrivés par le Golden Gate Bridge, symbole de la ville. Nous ne l'avons bien vu que le jour du départ (photo 4) car il était jusque là noyé dans la brume.
Nous sommes arrivés par le Golden Gate Bridge, symbole de la ville. Nous ne l'avons bien vu que le jour du départ (photo 4) car il était jusque là noyé dans la brume.Nous sommes arrivés par le Golden Gate Bridge, symbole de la ville. Nous ne l'avons bien vu que le jour du départ (photo 4) car il était jusque là noyé dans la brume.

Nous sommes arrivés par le Golden Gate Bridge, symbole de la ville. Nous ne l'avons bien vu que le jour du départ (photo 4) car il était jusque là noyé dans la brume.

Lombard treet est "la rue la plus biscornue du monde", les voitures la descendent en zigzag (photo 3, sftravel.com)
Lombard treet est "la rue la plus biscornue du monde", les voitures la descendent en zigzag (photo 3, sftravel.com)Lombard treet est "la rue la plus biscornue du monde", les voitures la descendent en zigzag (photo 3, sftravel.com)Lombard treet est "la rue la plus biscornue du monde", les voitures la descendent en zigzag (photo 3, sftravel.com)

Lombard treet est "la rue la plus biscornue du monde", les voitures la descendent en zigzag (photo 3, sftravel.com)

San Francisco n’est pas la seule ville de la côte ouest qui soit construite en bord de mer sur des collines : Seattle et Vancouver le sont aussi (voir notre journal de voyage aux Etats-Unis et au Canada). Mais les reliefs sont plus accusés à San Francisco, avec des rues en pente qui sont de vraies toboggans, imposant des règles spécifiques pour le stationnement des voitures.

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Les voitures, justement. Il y en a bien sûr beaucoup, trop sans doute pour le touriste ou le photographe. Mais la voiture particulière est moins omniprésente ici que dans les autres villes d’Amérique du nord. Les parkings en plein air ou à étages ne dévorent pas l’espace urbain. Les transports publics sont plus développés et mieux organisés, avec une large gamme d’options : le street car, funiculaire qui escalade les collines tiré par un câble enfoui sous la voie, est le plus emblématique mais il ne dessert que quelques quartiers et est surtout utilisé par les touristes. Les citadins utilisent plutôt le train, le tramway – les tramways anciens sont très élégants -, le trolleybus et un vaste réseau d’autobus, hybrides ou non.

Deux taxis autonomes Waymo

Deux taxis autonomes Waymo

Au chapitre des taxis, les plus saisissants sont les taxis électriques autonomes Waymo, bardés de caméras et de capteurs, qui se déplacent en ville à bonne allure avec leurs passagers mais sans conducteur, s’intégrant dans la circulation avec une sûreté en apparence totale.

Des maisons de style "missions espagnoles" (photo 7) ; la "maison bleue adossée sur la colline" de la chanson de Maxime le Forrestier attire les Français de passage (photo 8).
Des maisons de style "missions espagnoles" (photo 7) ; la "maison bleue adossée sur la colline" de la chanson de Maxime le Forrestier attire les Français de passage (photo 8).Des maisons de style "missions espagnoles" (photo 7) ; la "maison bleue adossée sur la colline" de la chanson de Maxime le Forrestier attire les Français de passage (photo 8).
Des maisons de style "missions espagnoles" (photo 7) ; la "maison bleue adossée sur la colline" de la chanson de Maxime le Forrestier attire les Français de passage (photo 8).Des maisons de style "missions espagnoles" (photo 7) ; la "maison bleue adossée sur la colline" de la chanson de Maxime le Forrestier attire les Français de passage (photo 8).Des maisons de style "missions espagnoles" (photo 7) ; la "maison bleue adossée sur la colline" de la chanson de Maxime le Forrestier attire les Français de passage (photo 8).
Des maisons de style "missions espagnoles" (photo 7) ; la "maison bleue adossée sur la colline" de la chanson de Maxime le Forrestier attire les Français de passage (photo 8).Des maisons de style "missions espagnoles" (photo 7) ; la "maison bleue adossée sur la colline" de la chanson de Maxime le Forrestier attire les Français de passage (photo 8).

Des maisons de style "missions espagnoles" (photo 7) ; la "maison bleue adossée sur la colline" de la chanson de Maxime le Forrestier attire les Français de passage (photo 8).

L’architecture de San Francisco est d’une grande variété et détermine largement le caractère et l’ambiance de cette ville inimitable. Les spécialistes distinguent les maisons par leur date de construction et par les influences extérieures : italienne, espagnole, mauresque … Sans entrer dans ces subtilités, on peut dire que les immeubles de grande hauteur sont en nombre limité et pas très récents : peu de tours de verre réfléchissant les rayons solaires. Parmi les maisons particulières, le style « missions espagnoles » est très fréquent avec ses petits toits et ses fenêtre en bow-windows.

Pas de pelouses en ville car la place manque mais des massifs de fleurs artistement disposés.Pas de pelouses en ville car la place manque mais des massifs de fleurs artistement disposés.Pas de pelouses en ville car la place manque mais des massifs de fleurs artistement disposés.
Pas de pelouses en ville car la place manque mais des massifs de fleurs artistement disposés.Pas de pelouses en ville car la place manque mais des massifs de fleurs artistement disposés.Pas de pelouses en ville car la place manque mais des massifs de fleurs artistement disposés.

Pas de pelouses en ville car la place manque mais des massifs de fleurs artistement disposés.

Retour à San Francisco
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Nous avons arpenté la ville chinoise. C’est loin d’être la seule de la côte ouest mais c’est peut-être la plus grande et la plus complète avec une variété remarquable de restaurants, de commerces et d’immeubles associatifs.

San Francisco est une ville cosmopolite. les inscriptions officielles sont en anglais, espagnol, chinois (caractères traditionnels) et tagalog.

San Francisco est une ville cosmopolite. les inscriptions officielles sont en anglais, espagnol, chinois (caractères traditionnels) et tagalog.

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Assez peu d’enfants sont visibles en ville mais les animaux de compagnie sont l’objet de toute l’attention et de tous les soins de leurs maîtres. Quelques jardins publics sont autorisés aux chiens non tenus en laisse. Ils se transforment concours de beauté où les propriétaires attendris socialisent autour de leur passion commune.

City Hall (photo 1) ; la basilique de la Mission Dolores (photo 2) ; la cathédrale épiscopale Grace (photos 3 et 4).City Hall (photo 1) ; la basilique de la Mission Dolores (photo 2) ; la cathédrale épiscopale Grace (photos 3 et 4).
City Hall (photo 1) ; la basilique de la Mission Dolores (photo 2) ; la cathédrale épiscopale Grace (photos 3 et 4).City Hall (photo 1) ; la basilique de la Mission Dolores (photo 2) ; la cathédrale épiscopale Grace (photos 3 et 4).City Hall (photo 1) ; la basilique de la Mission Dolores (photo 2) ; la cathédrale épiscopale Grace (photos 3 et 4).
City Hall (photo 1) ; la basilique de la Mission Dolores (photo 2) ; la cathédrale épiscopale Grace (photos 3 et 4).City Hall (photo 1) ; la basilique de la Mission Dolores (photo 2) ; la cathédrale épiscopale Grace (photos 3 et 4).

City Hall (photo 1) ; la basilique de la Mission Dolores (photo 2) ; la cathédrale épiscopale Grace (photos 3 et 4).

Si les grandes universités (Berkeley, Stanford, Université de Californie) et leurs débats politiques sont plutôt ailleurs autour de la baie, San Francisco est une ville politiquement consciente et engagée en faveur de l'égalité de tous et de l’écologie. Elle a aussi hélas, comme les autres villes de la côte ouest des Etats-Unis et du Canada, son lot de marginaux et de toxicomanes qui donnent dans certaines rues une image de détresse et de vies dévastées.

"C'est un fameux trois mâts fin comme un oiseau" (photo 1) ; les otaries et lions de mer qui se sont installés au Pier 39 sont devenus les mascottes de la ville (photo 2)."C'est un fameux trois mâts fin comme un oiseau" (photo 1) ; les otaries et lions de mer qui se sont installés au Pier 39 sont devenus les mascottes de la ville (photo 2).
"C'est un fameux trois mâts fin comme un oiseau" (photo 1) ; les otaries et lions de mer qui se sont installés au Pier 39 sont devenus les mascottes de la ville (photo 2)."C'est un fameux trois mâts fin comme un oiseau" (photo 1) ; les otaries et lions de mer qui se sont installés au Pier 39 sont devenus les mascottes de la ville (photo 2).

"C'est un fameux trois mâts fin comme un oiseau" (photo 1) ; les otaries et lions de mer qui se sont installés au Pier 39 sont devenus les mascottes de la ville (photo 2).

Pour résumer d’un mot, San Francisco est américaine, San Francisco est californienne mais San Francisco est unique.

Voyez aussi notre journal quotidien de voyage.

#adm888

Au Palais des beaux-artsAu Palais des beaux-arts

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